Des questions encore plus de question ! [Libre !!]

Mes écrits : 42 Date d'inscription : 10/08/2010

Le soleil venait de montrer le bout de son nez, quoi que vous avez déjà vu un soleil avec un nez ? Probablement sur les dessins des enfants, mais c'est aussi une expression utilisée chez certaines personne pour dire que celui-ci venait de se montrer. Certains pourrait dire que le soleil se lève alors qu'il ne dort pas, c'est juste la Terre qui est en rotation sur elle même.
Les rayons du soleil réchauffait un peu la terre de Glasgow, le vent du matin était un peu froid, il fallait mettre un pull, peut de nuages étaient présent dans le ciel bleu.

Aujourd'hui c'est les vacances, vers 9h30 les paupières d'Anna se soulevèrent non pas parce que il faisait éclairé dans sa chambre, mais parce qu'un bruit ennuyant la dérangeait, c'était sa mère qui passait l'aspirateur... ça ne pouvait pas attendre ? Il fallait qu'elle embête le monde dès le matin.
Anna devait de rendre à son appartement pour répété quelques morceaux de musique sur l'instrument que Bryan lui avait offert avant son départ. Anna jouait du violon en retrait pour ne pas montrer les sentiments de regret qu'elle éprouve en jouant, surtout que le violon peut se jouer d'un air doux, triste ou joyeux, et quand Anna joue du violon, elle exprime ses sentiments à travers son art.

Anna se débarrassa de ses draps et elle ouvrit sa fenêtre pour aller faire un tour sur le balcon, le voisin était en train d'arroser son jardin, Anna avait encore la tête dans le brouillard, elle fit signe au monsieur, puis elle retourna dans sa chambre, ferma sa fenêtre et elle prit sa douche, s'habilla, prit son petit déjeuné, et sa mère qui lui déposa un bisou sur son front.

" Que vas tu faire aujourd'hui Anna ? "

Je vais à mon appart' et ce soir je ne mange pas à la maison, j'y reste jusqu'à la fin de la semaine "

Ayant fini de déjeuné, Anna s'empressa de faire ses affaires et de prendre le violon gris que Bryan lui avait offert.
Elle s'empressa de faire la route en moto, mais au lieu d'aller directement à son appartement, elle fit le détour à un parc. Elle laissa sa moto sur le parking et l'attachant solidement par des anti-vol.
Elle enleva son casque et le mit dans son sac. Se déplaçant dans le parc, elle fini par s'assoir sur un banc près d'un arbre, elle posa ses affaires et commença a jouer du violon.

La télé est en marche dans une pièce où l’obscurité occupait les trois quarts. Seule la lumière de la télévision servait de lampe avec des couleurs et des intensités changeantes. Calé entre deux coussins marrons foncés et à demi-allongé sur un canapé beige, Adélaïde se prélassait devant un film. Elle n’avait trouvé aucun autre moyen de tuer le temps qui passait. Son laboratoire était en stagne bagne pour trois jours et on lui avait clairement indiqué que sa présence n’était pas nécessaire mais qu’elle pouvait être contacté à tous moments. Ce petit intermède l’arrangeait aussi. Une amie de collège venait de mettre au monde un petit garçon qu’elle avait prénommé Luke ( purée ça lui rappelait Star Wars ).

Le lendemain matin, elle se réveilla de bonne heure. Douche, habillage, petit dej’ - indispensable : café, brioche, nutella ( chocolat miam) - et la voilà en route pour Glasgow. Elle n’avait été qu’une seule fois dans ces lieux pour le mariage de son amie il y a deux années. Autrement, elle trouvait toujours un moyen pour que le couple vienne chez elle. Quand elle était au repos, elle n’aimait ne pas bouger de son coin. Mais pour l’occasion…s’était elle qui se déplaçait. Sur le goudron noir, les véhicules se faisaient à rythme régulier et elle ne tarda pas à arriver à destination.

Un parc s’offrait à ses yeux à l’horizon. Elle jeta un coup d’œil à sa montre et se gara dans un parking. Elle pouvait bien marcher un peu ? Le vent était léger et le soleil brillait sans éblouir. Adélaïde entendit de loin une note. Du violon. Elle suivit le son pour paraitre devant une jeune femme qui jouait au milieu du parc, assise sur un banc. Quelques passants s’arrêtaient pour l’écouter – dont elle-même – et elle n’osa point la déranger. Des vestiges du passés refirent surface, le temps où elle prenait des cours de chant pour l’opéra mais c’était une autre vie.

Tout à coup, elle entendit son portable sonner. Honteuse et désolé surtout, elle se précipita sur son sac et fouilla. Oui mais voilà, il y avait tellement de choses qu’elle ne trouvait pas. Elle gesticulait - bras, jambe sautillante...- en jurant discrètement entre ses lèvres. Voyant le regard des autres,, elle fit un long sourire et elle s’écarta de la jeune femme avec le violon et posa le sac sur un banc plus loin. Ses mains s’agitaient dans son sac noir.

- Zut, zut et re-zut. Qui a osé appelée ? Ah trouvé !

lle relève la protection et actionna le petit téléphone vert en disant :

- Sachez que j’ai la poisse…oui…vous m’appelez alors qu’une violoniste jouait dans le par cet….oh…Cathy ! Oui…Oui je sais…bah dans le parc…mais non…j’ai bien le droit de faire une pause…oui…je vais arriver…oui..oui oui, à tout à l’heure.

Elle soupira et rangea son mobile. Bon, son ami n’était pas censé non plus savoir qu’elle écoutait un violon. Elle se remit en marche et re-tomba sur la musicienne. Celle-ci avait finit et Adélaïde s’approcha, en manquant de tomber à cause d’un caillou mal placé :

- Vous êtes une musicienne plutôt doué. Je ne suis que de passage et je suis tombé sur vos sonorités.

Mes écrits : 42 Date d'inscription : 10/08/2010

Une fois en place, le violon envoya ses plus beau sons, la virtuosité de la mélancolique chanson pouvait donner des frissons, le son était magnifique et des personnes regardèrent Anna jouer, ses yeux étaient fermés, elle laissait son instinct guider ses doigts, elle en avait un peu l'habitude.
Le ton changea, Anna se ressaisissait, pourquoi jouer un morceau triste or les passants avant de venir poser son regard avaient le sourire.
Et la voilà enchainant avec une mélodie joyeuse qui redonnait le sourire. Anna se remit elle aussi à avoir un peu le sourire.
Un bruit de portable non gênant se fit entendre, cela ne gêna pas du tout Anna. Elle continua même, puis enfin le morceau était terminé, Anna termina par une longue note dans les tons moyen. Des applaudissements agrandissait le sourire d' Anna.

Une jeune femme se mit à lui parler, enfin elle l'avait complimentée sur sa façon de jouer. Anna posa son violon et tira ses affaires quelque fois que la jeune femme aurait voulu s'assoir à côté.
Anna ne rangea pas son violon, elle le laissa sur le côté du banc, on pouvait constater que ce violon était original, il n'était pas comme les autres. Il est plus gros que ceux de la normal, il est gris et possède plus de corde, quand à la voute du violon avait une forme originale. L'archet aussi n'était pas comme ceux des normaux, on pouvait vraiment remarquer que ce violon était original, peut être trop original.

" Je vous en remercie, c'est que j'étais en train de m'entraîner pour un futur concert qui à lieu dans quelques semaines. Vous jouez d'un instrument vous ? "

Anna était un peu curieuse, puis elle se présenta quand même :

" Au faite, moi c'est Anna, Lindsay Anna."

Elle venait de se présenter, bon peut être que la jeune femme qui était en face n'avait pas encore entendu parlé de la jeune prodige qui faisait régulièrement des concerts, Anna ne se considérait pas déjà comme une star, elle trouve que ceux là prennent la grosse tête et font souvent exprès de se faire remarquer pour apparaître en première page du journal.
Anna, elle, voulait se faire discrète. Elle était juste connu aux alentours de la ville mais cela n'allait pas plus loin.

Adélaïde avait côtoyé le monde de la musique mais sous un angle légèrement différent. Quand elle était encore qu’une jeune fille, elle avait suivit des cours de vocalisent. La chorale donnait de temps en temps des concerts et sa voix prenait des tonalités de soprano. Sa mère lui fit passer un concours dans un conservatoire qu’elle réussit et en parallèle avec les études, elle menait une vie d’opérette. Mais plus l’âge avançait et plus la biologie prenait la moitié de sa vie. Elle arrêta donc le chant pour se consacrer pleinement à la science. Regrettait-elle ? La question s’était souvent posée mais…non. Elle avait choisit et elle savait que la bonne décision avait été prise.

La jeune femme posa son violon sur le banc. Adélaïde put ainsi remarquer que l’instrument était vraiment particulier. Ce n’était pas comme les violons traditionnels en bois vernis. Non, il était gris avec des cordes qui lui semblaient rajouté pour en avoir vu dans sa vie. La voute avait une singularité original et l’archet accompagnait la personnalité de l’instrument. Que dire donc ? Adélaïde ne pouvait s’empêcher de dire :

- Votre violon a vraiment de la personnalité. J’en avais point vu des comme cela dans mes temps passés.

Puis la violoniste se présenta comme étant Anna Lindsay. Yeux écarquillés, Adélaïde eut comme un moment d’absence. La violoniste qui déjà, se faisait connaitre par son prodige ? Le docteur en biologie gardait encore un lien avec la musique. Elle ne pouvait abandonner comme ça ce qu’elle avait auparavant entreprit dans le chant.

- Anna Lindsay ? Votre nom a comme un son de familiarité..enfin par réputation et parce que j’ai une amie qui vis dans la ville. Elle a été musicienne et m’accompagnait – au péril de sa vie parfois – quand je suivais des cours de chant en tant que jeune soprano . Je suis Adélaïde Kelavec, docteur en biologie. J’ai carrément changé de milieu comme vous pouvez le voir.

Le parc gardait toujours son esprit de plénitude et de calme. La musique pouvait ainsi bien se prêter à l’ambiance.

- Pour répondre à votre autre question, non je ne joue pas d’instrument. Je n’ai jamais été doué pour prendre une flûte dans mes mains. Vu votre jeu, je pense vraiment que vous allez petit à petit gravir les échelons. Vous étudier dans un conservatoire ?

Mes écrits : 42 Date d'inscription : 10/08/2010

Anna ne pu remarqué que la jeune femme avait remarqué son instrument, un violon vraiment particulier. Mais Anna n’en savait pas plus sur le violon, surtout qu’il s’agissait d’un cadeau et c’est un peu impoli de demandé d’où l’instrument pouvait venir pour vérifier le prix ou quelques chose comme ça, ou peut être il l’avait fabriqué ? Ou un instrument des ancêtres de bryan ? Ahh, elle ne pu s’empêcher de penser à lui, il n’était pas là ça lui faisait un vide, le violon était un peu comme une part de Bryan. Souriait à la remarque comme quoi le violon avait de la personnalité. C’est vrai que Anna avait parcourut des boutiques que ça soit dans des magasins spécialisés ou encore sur Internet, il n’y avait rien de la sorte.

Ensuite, la jeune femme qui se présenta, Adélaïde Kelavec, elle disait avoir entendu parler d’Anna par le biais d’une amie qui vit dans la ville. Puis elle l’informait qu’elle était au chant en tant que jeune soprano ! Mais elle avoua avoir changé de milieu, en effet Docteur en biologie, c’était totalement un autre aspect. Anna ne pu s’empêcher d’imaginer Adélaïde en train de chanter dans son laboratoire, mais à son avis ça ne pouvait pas le faire, là bas, le travaille devait certainement être sérieux. Anna lui répondit :

" C’est vrai que ça n’a rien à voir ! "

Ensuite Adélaïde lui répondit à son autre question; elle ne joue pas d’instrument, mais au moins elle connaissait le milieu de la musique et du chant, c’était déjà ça !
Elle avoua qu’elle n’était pas doué avec les instruments de musique comme les flûtes. Puis elle avait posé une question, Anna lui répondit :

« Oui, j’étudie dans un conservatoire, vous savez, j’ai commencé très jeune à m’intéresser à la musique, je prenait des cours particuliers, puis avec mes cours l’option musique était indispensable, j’aime vraiment les sonorités mélodieuses des instruments. »

Puis Anna ne pouvait s’empêcher de prendre son instrument sur ses genoux, elle commença à dire d’une voix hésitante et un peu chagrinante :

« Cet instrument m’a été offert par… enfin, c’était mon petit ami, mais il m’a avoué des choses un peu étrange avant de partir. Vous avez déjà entendu une excuse comme quoi c’est un alien et qu'il devait repartir sur sa planète !? Un alien, ah, ça n’a jamais existé ! Pour avoir de l’humour il en avait, mais je pense que c’était pour que je n’ai pas de mauvais souvenir de lui. »

Anna avait un sourire nerveux, un peu gênée d'avoir raconter ça, elle allait faire passer Bryan pour un fou. Ce n'était pas ce qu'elle voulait mais, il avait agit bizarrement.

Biologie et musique, deux activités qui n’avaient rien en commun, à part peut-être le lieu. Car oui, un biologiste n’a pas signé de décret sur l’interdiction de chantonner dans le laboratoire un Avé Maria pour occuper le temps entre deux analyses. Adélaïde était une jeune femme qui trouvait les laboratoires glauques avec aucune chaleur. Elle avait eu une fois le culot de ramener une radio et l’actionner histoire de mettre le rythme. Comme elle était seule, ça ne gênait personne et pour elle, ça lui mettait le rythme.

Anna poursuivit son dialogue sur le faites qu’elle avait suivit des cours très jeunes. Elle étudiait dans un conservatoire donc cela voulait dire qu’une carrière s’offrait à elle. Pouvoir faire de la musique son métier était une chance à ne pas louper et cet opportunité s’était offerte à la violoniste. Par ses paroles, Adélaïde en concluait qu’Anna vouait une grande passion, c’était ce que cherchaient d’ailleurs les professeurs de conservatoire.

- J’ai pris aussi l’option musique lors de mes études secondaires. Puis après, j’ai du abandonner, car je ne pouvais pas jongler entre biologie et chant. Cela serait devenu trop compliqué même si avec un esprit un peu tordu, on arrive encore à chantonner un Amazing Grace à son patron…hum…

Et puis avec son métier actuel, ça n’aurait mais pas du tout coller. Son seul public à présent était ses tubes à essais, erlenmeyer, ampoule à décantation, spectromètre – un peu bavard au passage – chromatographie …

Le sujet dériva sur un point où Adélaïde faillit avaler de travers sa salive. Son petit-ami, lui avait dit venir d’une autre planète…repartit…alerte rouge – alerte rouge…Adélaïde fixa un bon moment Anna en essayant de bien encaissé ce qu’elle venait de dire. Comment pouvait-il se nommer ? Sa planète ? Mais Adélaïde se trouvait aussi dans une situation comique car Anna ne savait pas que la biologiste travaillait pour UNIT, une organisation gouvernemental pour lutter contre la menace alien et tout ce qui touchait du paranormal.

- Et bien….votre ami était…enfin, il a une grande imagination..eh eh…il s’appelait comment ?

Mode investigatrice on…non non…il ne faut pas donc off. Adélaïde était en vacance donc non, pas de travail, de lien avec des choses qu’elle côtoyait tous les jours. Elle fit un sourire gênée et déclara :

- Excusez-moi, je me mêle de choses qui ne me regardent pas. Votre ami avait surement une raison pour vous dire ces mots *

un peu insouciant quand même celui-là

* et je pense qu’il ne va pas vous oubliez comme ça et revenir. Je suis de nature optimiste.

Mes écrits : 42 Date d'inscription : 10/08/2010

Anna venait un peu de dévoiler ce qu'il rester de Bryan en mémoire, elle l'avait connu juste quelques temps, mais ils étaient devenus très amoureux, pourquoi devait t'il partir subitement du jour au lendemain sans vouloir garder contact ?
C'était quand même étrange qu'il lui avait avouer une sorte de mensonge, pourquoi mentir quand on aime... Pour Anna c'était signification de protection, enfin surtout dans les films et séries télé qu'elle avait pu regarder.
Mais Anna avait quand même du mal à avaler l'excuse, d'être un Alien, non là s'en était trop, il aurait pu chercher une autre excuse, comme quoi il voulait plus la voir, mais pas une excuse ridicule comme celle ci !
Anna répondit à Adélaïde :

" Oui, il avait une grande imagination pour me dire ça le soir d'un rendez-vous....Il s'appelait Bryan."

Puis Adélaïde s'excusa pour ne pas s'occuper de ses affaires, elle ne devait pas s'excuser, puisque c'était Anna qui lui avait parler de ça en première.
Anna qui bavardait tout le temps, c'était une grande langue ! Depuis qu'elle était jeune d'ailleurs, dans ses bulletins scolaires, des notes bonnes mais les remarques de bavardages étaient inscrits dans presque toutes les matières.
Anna se précipita pour lui répondre :

"Oh ! Non non non ! C'est moi qui vous ai divulguée ces informations, j'avoue être une grande langue, c'est mon défaut. Mais vous avez raison, il se peut qu'il y ai une raison pour m'avoir dit ça, et si il ne m'a pas dit "adieu", c'est certainement qu'il va revenir...Enfin j'espère. Mais c'est tout de même bizarre qu'il m'ait dit ça le jour de notre rendez-vous.
C'est comme cet instrument que j'ai essayé de chercher une ressemblance sur Internet et dans les magasins spécialisés, mais il n'y avait rien dessus !"

Si ça ce n'était pas du étrange !

Adélaïde essayait de comprendre pourquoi elle s’était assise pour discuter avec la musicienne. Son violon aurait-il éveillé la curiosité qui réside en sa personne ? Les gens pourraient le penser car le docteur en biologie n’avait pas été dupe en considérant que l’instrument de la demoiselle était des plus surprenants. Dans sa vie, elle l’habitude d’être confronté à des moyens, des objets des plus bizarroïdes. Elle jeta un œil suite aux réflexions de la personne à ses côtés et demanda :

- Ça ne vous dérange pas que je regarde de plus près.

Elle scruta le bois de l’instrument et sa forme. Les cordes étaient différentes de celle de la Terre et vu les propos qu’elle pouvait entendre d’Anna sur ce Bryan, elle trouva de suite une réponse. Ce jeune homme était un alien venu sur Terre qui dans un temps de son passage avait offert un violon de sa planète tout simplement. Oui mais bon…comment dire à une terrienne :

* En faite votre ami est un alien et ce que vous avez dans les mains est un violon fabriqué sur une autre planète !*

. Hummm mauvaise idée que de déclarer ces mots à une humaine qui ne devrait en rien avoir connaissance que la vie extraterrestre était bien réel.

C’était vraiment incomparable de vivre dans un rituel, l’habitude de voir des choses qui peuvent apparaitre paranormaux pour certains et pour d’autres…il y avait des explications rationnels. Elle comprenait qu’elle avait on peut dire une chance de pouvoir connaitre des secrets qui relèvent de l’irréel mais parfois, dans des moments, Adélaïde se demandait si ce n’était pas plus simple d’ignorer, de vivre une vie normale et ne jamais se soucier de l’invasion d’un peuple extraterrestre. Elle regarda de nouveau Anna et lui dit :

- Vous savez, votre instrument et unique et peut vous amenez loin. Surtout ne vous en séparez point, ce violon fera de vous une violoniste…on va dire…originale.

Mais elle avait bien l’attention de trouver d’où venait cet instrument car un alien qui se promène sur la terre, ce n’était pas toujours bon. Et puis si ses patrons le savaient...aille pour lui.

- Je vais vous dire une chose, moi on m’appelle bien la folle de la seringue, faut dire que tout le monde craint mes méthodes. Je passe pour une folle ce qui fait qu’aujourd’hui, j’ai une bonne place au niveau travail.

Adélaïde voulait lui démontrer que l’originalité dans des domaines pouvait être vraiment positive et c’était surtout pour l’inciter à ne jamais vendre ce violon car quand on est violoniste, il arrive qu’on doive changer son instrument contre le stradivarius quand une carrière monte.

- Vous habitez ici, je veux dire…dans cette ville..pas dans le parc..enfin voilà.

Mes écrits : 42 Date d'inscription : 10/08/2010

Son interlocutrice lui avait demandé si ça ne lui dérangeait pas de regarder plus près son violon qui était spécial, bien sur quand elle l'avait demandé, Anna lui avait prêter pour qu'elle puisse l'ausculter de prêt.

"Oui allez y, vous aller voir par vous même qu'il n'est pas ordinaire..."

C'est ce qu'elle lui avait dit quand elle eut passée l'instrument, et d'ailleurs elle l'avait dit à tout ceux qui l'ont eut auparavant quand elle avait été aux magasins pour voir les origines de cet instruments mystérieux.
Elle laissait faire Adélaïde faire, peut être que ça pouvait lui dire quelque chose, enfin c'est vrai que même si on est pas spécialiste, il peut toujours avoir un coup de chance qu'on tombe sur une information par hasard, et Anna attendait les réactions de Adélaïde, puis elle lui avait dit de ne jamais se séparer de ce violon car il était unique et ça ferait d'elle une violoniste originale.
Cette idée à Anna lui plaisait autant que pour et de contre, elle voulait être reconnue, mais pas être célèbre comme les stars qui se font remarquer dans les magasines peoples, juste ce qu'il fallait.
Puis Adélaïde ajouta encore quelque chose, à propos d'elle... Qu'on la surnommait la folle de la seringue, et que ça lui avait apporté une bonne place. Anna souriait, elle avait prit confiance en elle.
Puis elle devait répondre à Adélaïde qui lui demandait si elle habitait dans le coin.

" Oui j'habite pas très loin, enfin... Je suis venue en moto de la maison de ma mère mais sinon j'ai un appartement et avant d'y aller, j'ai fais une halte ici. "

Neither Master, Nor God! Mes écrits : 475 Date d'inscription : 07/09/2009

Quelle belle journée s'annonçait aujourd'hui, pour une fois ces crétins de UNIT ne couraient pas après Alex pour réaliser je ne sais encore qu'elle expérience bizarre sur lui. Il pouvait vaquer à ses occupations préférées, il pouvait enfin dormir dans son appart tranquille à Chelsea. Le soleil se leva et Alex s'étira, il se lava, pris son petit déj et se mit une heure devant la télévision,avant de décider de s'habiller et de partir en voiture pour explorer les cotes du Royaume uni. Il roula pendant plusieurs heures avant d'arriver à Glasgow, il y fit une halte pour se reposer du trajet, il se gara dans un parking prés d'un parc et sorti de sa voiture. il avança un peu dans le parc lorsqu'il entendit un air assez mélancolique au violon, il alla voir qui jouait aussi bien du violon et tomba avec 2 filles en train de discuter, il essaya de se cacher pour ne pas se faire repérer mais en le faisant il marcha sur une branche qui craqua sous sons pied, il se cacha derrière un arbre en espérant que les 2 protagonistes ne l'ai pas entendu arriver...

*Eh bien au niveau discrétion... c'est raté !*

Mes écrits : 42 Date d'inscription : 10/08/2010

Anna fixait son instrument de musique, qui était maintenant maintenant entre les mains de Adélaïde.
La jeune femme en ce même moment, repensait encore à son ancien petit ami.
Elle avait vraiment du mal à s'en débarrasser de sa tête, mais ça ne se fait pas du jour au lendemain.
Puis une sonnerie de téléphone portable retentit. Anna quitta du regard son instrument pour se lever soudainement et fouiller dans son sac et en s'adressant à Adélaïde :

- Excusez moi, je reviens.

Anna trouva son téléphone portable le sortit de son sac et s'éloigna un peu de Adélaïde pour que la conversation qu'elle a, reste discret et privé.

- Oui ?... non, je pense que vous vous êtes trompé de numéro madame... Ce n'est pas grave, bonne journée, oui ! Au revoir.

Anna remit son téléphone dans son sac, puis elle entendit un bruit de branche craquer qui attira son attention !
Elle fixa son regard dans la direction qu'elle l'avait entendu, d'abord elle se mit à s'inquiéter, mais elle ne vit rien, et fini par s'assoir près de Adélaïde en étant plus du tout inquiète.
Anna récupéra son instrument et le mit dans son étui spéciale.

- Un faux numéro ! Ça va je n'ai pas lieu de m'inquiéter.

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