*Nom : Lloyd
*Prénom : Eirwen
Surnom : Eiry
*Âge : "24 ans"
Métier : ancien inspecteur de police, membre de Torchwood incorporée à l'équipe en 2093
*Sexe : Féminin
*Race : Humaine
*Planète d'origine : Terre
Planète de localisation : Terre
Habitation : Inconnue, pour le moment
*Description Physique : Eirwen est une jeune fille que l'on pourrait qualifié d'attirante. D'une taille de 1m70 elle se situe dans la moyenne. Brune aux yeux noisettes, son teint de pêche lui confère un coté "hors temps" qu'elle renforce avec un fin trait de kôhl noir. Ses cheveux sont bouclés, et parfois lorsque le temps est humide, ils forment des anglaises. Elle les porte la plupart du temps détachés mais il n'est pas rare de la voir coiffé en chignon ou arborer une queue de cheval. Son style vestimentaire est plutôt sportswear bien qu'elle aime ajouter une petite touche glamour en portant des colliers ou boucles d'oreilles ethniques ou kitchs.
*Description Mentale : Destinée dès son plus jeune âge à suivre la carrière de ses ainées, Eirwen est plutôt du genre "garçon manqué" et cela se ressent dans son caractère. Forte, courageuse, elle sait faire face aux situation les plus improbables avec sang froid et détermination. Il lui arrive cependant de perdre pieds, mais seulement lorsque les souvenirs remontent à la surface. de nature enjouée, elle est toujours prête à faire la fête avec ses amis et a ce qu'on appelle "une bonne descente". c'est une bosseuse qui ne rechigne pas face au travail. Elle sait prendre des initiatives mais peut parfois être casse-cou et se retrouver au milieu de problèmes. C'est un coeur à prendre, mais cela ne la chagrine pas pour le moment... elle a le temps...
*Biographie : Dans la famille d'Eirwen, on était policier de mère en fille et cela depuis 4 générations. Une tradition qu’aucune des filles aînées n’avait remis en question, même si elles rêvaient d’une autre carrière, jalousaient la liberté de choix de leurs frères et sœurs. Elles étaient comme programmées pour ce job, dès leur plus jeune âge, elles étaient baignées dans le sordide et l’impensable… le sang et les mutilations… les cellules et les salles d’interrogatoires. Leurs mères les emmenaient au commissariat et les laissaient au contact des criminels les plus dangereux.
Eirwen avait suivit cette « formation » dès l’age de 6 ans. Selon sa mère, elle s’était montrée très douée et curieuse de tout. Elle était même devenue la mascotte du commissariat n°14. Puis, la veille de son 10e anniversaire, Le commissaire principal était venu chez elle. Il s’était assis sur le fauteuil du salon et lui avait annoncé la mort de sa mère. Elle avait été tuée par un jeune junkie en manque. Étant fille unique d’une mère célibataire (son père était parti avant sa naissance et n’avait plus jamais donné de ses nouvelles), mais surtout fille d’un officier de police, elle fut placée dans un orphelinat dépendant du ministère. Mais tête brûlée dès son plus jeune âge, elle fuguait sans cesse pour retourner au commissariat, au contact des policier et des malfrats de la ville. C’était là qu’elle se sentait chez elle.
Devant cette situation quelque peu problématique - Eirwen séchait les cours, devenait insolente et violente envers ceux qui se mettaient sur son chemin - et parce qu’il avait un profond respect pour la famille d’Eirwen depuis plus de 50 années, le commissaire et sa femme prirent la décision de l’adopter. Ils n’avaient jamais eu d’enfants et le commissaire la considérait de toutes façons comme faisant déjà partie de sa famille.
Lorsqu’il en fit la proposition à Eirwen, celle-ci lui sauta au cou, trop heureuse de quitter l’enfer coercitif de l’orphelinat et de retourner vers le lieu qu’elle appréciait le plus : le poste. Le commissaire Welling lui proposa cependant une sorte d’accord : Elle arrêtait ses bêtises d’adolescente, reprenait le chemin des cours et en contre partie, il lui apprendrait tout ce qu’il savait sur le métier de policier ainsi que les ficelles du métier. Face à cette proposition qu’elle ne pouvait refuser, elle tendit la main à son futur « père » qu’il prit dans la sienne. L’accord était conclu.
Voilà une des raisons qui expliquent l’avancement rapide d’Eirwen au sein de la brigade. A 24 ans elle était la plus jeune femme inspectrice du district et peut-être même de tout le Royaume-Uni. Mais cet avancement ne lui avait pas été donné par amitié ou favoritisme, elle avait gagné ses galons d’inspecteur après avoir résolu l’affaire du tueur de Glossop Rd. Une sordide affaire qui l’avait conduite dans les quartiers les plus crasseux de Cardiff. Même sa mère et sa grand-mère n’avait pas eu ce grade avant leur 35 ans ... Elle le devait principalement à son pouvoir de déduction et à son 6e sens légendaire, mais aussi à tous les conseils donnés par celui qu’elle considérait comme son père, qui lui distillait le soir sous forme d’histoires lorsqu’elle était plus jeune, puis sous forme de « cas pratiques » lorsqu’elle revenait de l’école de police pour le Week End. Elle avait tenu sa promesse, il avait tenu la sienne.
La seule chose sur laquelle il ne voulait pas discuter était la mort de sa mère. Vers l’âge de 18 ans, elle lui avait posé la question sur les réelles circonstances qui avaient amené sa mère sur les docks de Cardiff, un dimanche soir, alors qu’elle était censée être de repos. Il lui avait récité le rapport officiel, à la virgule près et avant qu’elle ait pu objecter, il s’était levé et était parti se coucher… Il n’était que 20h45. Tout au fond d’elle-même, Eirwen savait qu’on lui cachait la vérité, mais elle su être patiente. Le jour de la remise de son diplôme, elle fit un seul choix d’affectation. Elle pouvait se le permettre, elle était major de sa promotion. De l’estrade, elle pouvait voir le sourire éclatant du commissaire et de sa femme. Elle s’adressa à l’assistance, en tant que major, elle devait faire le discours de clôture. Elle remercia les professeurs, elle remercia sa famille, et félicita ses camarades, et n’oublia pas de remercier sa mère ainsi que toutes les femmes de sa famille qui avaient, comme elle, choisi la voie de la protection et de l’assistance. Puis, comme de coutume, elle annonça le choix de l’affectation qui lui avait été accordé : Le commissariat du 14e district.
Peu de temps après, un certain Jack Harkness l'avait approchée dans des circonstances extraordinaires. Il lui avait proposé un poste à Torcwhood qu'elle avait accepté, après une rencontre des plus étonnantes avec des Weevils . Cependant quelques temps plus tard, alors que l'équipe était en mission, elle fut transportée dans le temps par un appareil alien et s'est retrouvée à Cardiff en 2006.
Sa seule option pour "revenir" à son époque, laisser une note à Jack Harkness, note qu'il découvrira que beaucoup plus tard, afin qu'il empêche l'appareil alien de la téléreporter. Mais pour l'instant, elle est bloquée en 2006, et va devoir vivre sa vie ici, à cette époque...
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*Personne sur l'Avatar : Jennifer Love Hewitt